Au cœur d’une Smart City, la data est indispensable. C’est ce qui va permettre à la ville d’analyser les statistiques de sa population et de son environnement. Ensuite, elle oriente ses actions en fonction des résultats. Une fois traitées, ces données servent au bien commun et sont rendues publiques. A l’échelle d’un logement, toutes les données ne sont bien sûr pas visibles par tous. Elles servent surtout à améliorer la qualité de vie des habitants. Ils gèrent leurs consommations grâce à leurs données de façon individuelle.
Aujourd’hui, le smartphone occupe une place prépondérante dans nos vies. Grâce aux objets connectés, il est désormais possible de contrôler, depuis un téléphone ou une tablette, toute la maison.
Actuellement, les systèmes de télésurveillance d’un logement peuvent être guidés à l’aide d’une connexion internet par exemple. Il est aussi possible de piloter à distance tous ses équipements électriques. Les volets peuvent être ouverts ou fermés à distance, les chauffages réglés en fonction de la température extérieure, etc...
Cela permet de maîtriser les coûts énergétiques et de limiter l’impact environnemental de chacun. Mais cette tendance en premier lieu individuelle s’inscrit aujourd’hui dans une dynamique plus collective.
Aujourd’hui, le smartphone occupe une place prépondérante dans nos vies. Grâce aux objets connectés, il est désormais possible de contrôler, depuis un téléphone ou une tablette, toute la maison.
Actuellement, les systèmes de télésurveillance d’un logement peuvent être guidés à l’aide d’une connexion internet par exemple. Il est aussi possible de piloter à distance tous ses équipements électriques. Les volets peuvent être ouverts ou fermés à distance, les chauffages réglés en fonction de la température extérieure, etc...
Cela permet de maîtriser les coûts énergétiques et de limiter l’impact environnemental de chacun. Mais cette tendance en premier lieu individuelle s’inscrit aujourd’hui dans une dynamique plus collective.
Une organisation plus collective de l'habitat
De plus en plus, la tendance est aux habitations mutualisées. Autrement dit, on pense maintenant à regrouper les moyens de chacun pour économiser davantage et mieux vivre ensemble, plutôt que chacun chez soi. Au cœur d’un même immeuble, les logements sont bien sûr toutefois séparés. Il ne s’agit pas d’une grande collocation. Mais on privilégie davantage les espaces communs que la sphère intime de chacun. Conciergeries, salles de fêtes, buanderies et même espaces de coworking commencent donc à être intégrés un peu partout dans les programmes immobiliers.
Les objectifs d’un habitat mutualisé :
1 - Optimiser les coûts
C’est l’enjeu principal. Les habitats mutualisés sont souvent auto-gérés. Autrement dit, chaque individu met la main à la pâte pour la gestion et les travaux du quotidien. Ça réduit de beaucoup les charges de la communauté en général. Au-delà d’être un habitat mutualisé, on peut donc aussi parler d’habitat collaboratif.
En plus de ça, les aménagements extérieurs sont eux aussi souvent mutualisés. On trouve de plus en plus de places de parking servant à la fois aux résidents et aux actifs de passage par exemple. Pour les habitants, ça signifie de payer un droit de jouissance au lieu d’acheter une place complète. Les coûts sont donc réduits. Côté promoteurs, ça leur permet de construire moins de places de parking donc de diminuer les coûts de construction.
2 - Maîtriser l’impact sur l’environnement
L’habitat collectif est un souvent un habitat durable. En ça, il s’intègre donc parfaitement au cœur des enjeux de la Smart City. Par exemple, les promoteurs ont de plus en plus recours aux panneaux solaires et aux matériaux de construction écologiques. Côté consommations électriques, elles sont souvent régulées facilement grâce à des capteurs intelligents. Ça permet d’éviter les pertes en énergie de chacun.
Et pour préserver davantage l’environnement, la data joue aussi un rôle essentiel. Aujourd’hui grâce à des applications simples, les habitants peuvent par exemple être avertis des places de parkings disponibles les plus proches de leur habitation, au lieu de tourner pendant des heures avec le moteur en marche. Ça contribue à faciliter la vie des habitants tout en limitant le rejet de gaz à effet de serre.
3 - Favoriser le lien social
Le dernier gros avantage de l’habitat mutualisé, et pas des moindres : il favorise énormément le lien social. Fini le temps où chacun restait chez soi et où on se lançait seulement un bonjour dans l’ascenseur. L’habitat mutualisé incite les habitants à se regrouper pour discuter, ou autour d’un projet commun.
Par exemple, de nombreux habitants de la Smart City prennent déjà part à l’agriculture urbaine. Autrement dit, ils choisissent de créer ensemble un potager dans un de leurs espaces mutualisés, puis cultivent et récoltent ensemble les fruits de leur travail. En plus de favoriser l’environnement et la biodiversité, ça permet à chacun de se retrouver autour d’intérêts communs. De ce fait, la communauté au complet est engagée.
A Montreuil, on peut citer La Maison des Babayagas. Cet habitat mutualisé est destiné uniquement aux femmes de plus de 60 ans. Le concept ? Permettre à chacune de s’entraider pour vieillir ensemble de façon autonome, sans passer si possible par la case maison de retraite. Ces femmes s’occupent aussi de l’entretien quotidien du bâtiment.
Ces dernières années, l’habitat a profondément évolué. Et si la conception change, la manière d’y vivre aussi. Une tendance se dessine : les citoyens ont maintenant la volonté d’être davantage actifs et non plus simples consommateurs. Ils sont nombreux à vouloir faire évoluer leur environnement pour le façonner à leur image. Les habitats mutualisés se développent donc un peu partout dans le monde, pour répondre à cette nouvelle tendance. Au Danemark, on estime que l’habitat mutualisé représente 15 à 20% des logements neufs. Au Québec, 10% des habitants vivent déjà dans des habitations partagées. Il ne fait donc aucun doute que ce type de logement va donc faire de plus en plus partie du paysage de nos villes intelligentes, dans les années à venir.
Les objectifs d’un habitat mutualisé :
1 - Optimiser les coûts
C’est l’enjeu principal. Les habitats mutualisés sont souvent auto-gérés. Autrement dit, chaque individu met la main à la pâte pour la gestion et les travaux du quotidien. Ça réduit de beaucoup les charges de la communauté en général. Au-delà d’être un habitat mutualisé, on peut donc aussi parler d’habitat collaboratif.
En plus de ça, les aménagements extérieurs sont eux aussi souvent mutualisés. On trouve de plus en plus de places de parking servant à la fois aux résidents et aux actifs de passage par exemple. Pour les habitants, ça signifie de payer un droit de jouissance au lieu d’acheter une place complète. Les coûts sont donc réduits. Côté promoteurs, ça leur permet de construire moins de places de parking donc de diminuer les coûts de construction.
2 - Maîtriser l’impact sur l’environnement
L’habitat collectif est un souvent un habitat durable. En ça, il s’intègre donc parfaitement au cœur des enjeux de la Smart City. Par exemple, les promoteurs ont de plus en plus recours aux panneaux solaires et aux matériaux de construction écologiques. Côté consommations électriques, elles sont souvent régulées facilement grâce à des capteurs intelligents. Ça permet d’éviter les pertes en énergie de chacun.
Et pour préserver davantage l’environnement, la data joue aussi un rôle essentiel. Aujourd’hui grâce à des applications simples, les habitants peuvent par exemple être avertis des places de parkings disponibles les plus proches de leur habitation, au lieu de tourner pendant des heures avec le moteur en marche. Ça contribue à faciliter la vie des habitants tout en limitant le rejet de gaz à effet de serre.
3 - Favoriser le lien social
Le dernier gros avantage de l’habitat mutualisé, et pas des moindres : il favorise énormément le lien social. Fini le temps où chacun restait chez soi et où on se lançait seulement un bonjour dans l’ascenseur. L’habitat mutualisé incite les habitants à se regrouper pour discuter, ou autour d’un projet commun.
Par exemple, de nombreux habitants de la Smart City prennent déjà part à l’agriculture urbaine. Autrement dit, ils choisissent de créer ensemble un potager dans un de leurs espaces mutualisés, puis cultivent et récoltent ensemble les fruits de leur travail. En plus de favoriser l’environnement et la biodiversité, ça permet à chacun de se retrouver autour d’intérêts communs. De ce fait, la communauté au complet est engagée.
A Montreuil, on peut citer La Maison des Babayagas. Cet habitat mutualisé est destiné uniquement aux femmes de plus de 60 ans. Le concept ? Permettre à chacune de s’entraider pour vieillir ensemble de façon autonome, sans passer si possible par la case maison de retraite. Ces femmes s’occupent aussi de l’entretien quotidien du bâtiment.
Ces dernières années, l’habitat a profondément évolué. Et si la conception change, la manière d’y vivre aussi. Une tendance se dessine : les citoyens ont maintenant la volonté d’être davantage actifs et non plus simples consommateurs. Ils sont nombreux à vouloir faire évoluer leur environnement pour le façonner à leur image. Les habitats mutualisés se développent donc un peu partout dans le monde, pour répondre à cette nouvelle tendance. Au Danemark, on estime que l’habitat mutualisé représente 15 à 20% des logements neufs. Au Québec, 10% des habitants vivent déjà dans des habitations partagées. Il ne fait donc aucun doute que ce type de logement va donc faire de plus en plus partie du paysage de nos villes intelligentes, dans les années à venir.
Le hub smart city répond à l’ambition de réunir dans un même espace les réflexions, les expérimentations et les réalisations faites pour répondre aux enjeux de la smart city.